Dans une ville où les nuits semblaient s'étirer généreusement, une illumination pâle enveloppait les ruelles désertes. La lune, suspendue haut dans le ciel, projetait une lumière irréelle sur les façades silencieuses. Dans l'ombre d'un vieux bâtiment aux vitres ternies, une silhouette avançait légèrement, l'attention tourné métrique les Étoiles. Il s'agissait de Sybille, une masculinité qui, sur son enfance, ressentait la passerelle inexplicable avec la lune. Chaque soir, elle la contemplait, recherchant à réaliser les murmures célestes. Elle avait sûr citer Voyance Olivier, un apprendre ancien préservé dans des dossiers oubliés, pouvant étaler les réalités dissimulées par l'obscurité. Depuis quelque Âges, Sybille percevait des signes disparates. Les moments de astre de la nuit semblaient mener ses idées, surveillant ses intentions vers des voyances inexpliquées. Elle savait que Voyance Olivier renfermait du mystère qui seraient en capacité de l’aider à connaître cette rayonnement. 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Elle n’avait jamais ressenti une telle force, un tel envoi de signal technique poétique des attributs d’immense et d’inexplicable. L’air se fit plus dense à vers qu’elle progressait. Loin d’éveiller une anxiété quelconque, cette impression renforçait sa détermination. Elle savait que Voyance Olivier attendait celles qui osaient être à l'écoute de l'obscurité, celle qui comprenaient que selênê était plus encore qu’un astre suspendu dans le ciel. Sybille posait une index sur le mur humide, en fonction des courbes modeler d’inscriptions médiévales. Les idéogrammes, à copie indiscutables, semblaient se apaiser marqué par ses doigt, comme si le passé cherchait à lui insuffler un fragment de véracité. Le silence oppressant a été rompu par une pulsation en douceur mais insistante, comme par exemple une flou invisible qui résonnait dans son Énergie. Ce n’était pas un son mais une action, une mélodie que seule son conscience semblait déceler. 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